Les Parrains/Marraines témoignent

Vous avez envie de parrainer un chien, mais vous hésitez... Vous avez encore quelques doutes sur l'utilité de cet engagement à long terme. 

Certains de nos parrains/marraines ont accepté de partager avec vous leur motivation et le sens de leur engagement. Leur expérience vous permettra certainement de prendre votre décision. 


Melissa, marraine de Keko et Asia

Je suis devenue marraine tout d’abord par conviction ; conviction que si je n’étais pas en mesure d’adopter tous les chiens pour lesquels j’avais un coup de cœur ou un attendrissement particulier, je pouvais les aider différemment.

En contribuant financièrement, j’ai la chance (en plus de la satisfaction d’aider) d’avoir des nouvelles via photos et vidéos de mes protégés.

Cela me permet d’en savoir plus sur eux, sur leur vie en refuge, sur leur évolution, et parfois… un jour… leur adoption ! Qui permettra à un autre loulou de bénéficier d’un parrainage.

 

Ces informations me permettent aussi, secrètement, si un jour la famille s’agrandit de mon côté, de savoir si mon filleul pourrait être le chien qui nous rejoint… enfin bref, c’est un honneur de pouvoir aider Galgos Angel et je me sens chanceuse de participer en dehors de mes adoptions à cette belle chaîne de solidarité.


Marie, marraine de César, Luki, Beni, Tico et Rushell & Teo

Prendre la décision d'adopter un animal, est considéré comme un acte responsable, qu'on mènera à bien, tout au long de la vie du chien ou de la chienne qu'on a choisit, afin de lui apporter le confort, la confiance et l'amour d'un foyer aimant!

Parrainer un chien (ou une chienne), est aussi un acte responsable, peut-être d'avantage, car il arrive qu'on ne puisse pas adopter plus d'un animal à la fois, alors le parrainage, c'est offrir également de l'amour et du réconfort à un chien ou à plusieurs, des animaux souvent délaissés ou pire, dans leur vie antérieure, par des humains peu scrupuleux, du moins sans rentrer dans les détails sordides de la maltraitance animale!

Pour ma part, en janvier 2018, j'ai adopté Mariana l'année de ses 9 ans et cette chienne a été mon rayon de soleil, depuis 5 ans et demi, de belles années de pur bonheur où tendresse et confiance, ont été nos meilleurs alliés.

Ne pouvant pas adopter d'autre chien, j'ai décidé il y a plusieurs années, d'en parrainer d'autres, afin de leur offrir un peu plus de bonheur, de confort et d'attention, financièrement parlant et ainsi, leur donner peut-être les moyens d'être eux-mêmes adoptés plus tard ou du moins, leur assurer un meilleur avenir au quotidien.

Au jour d'aujourd'hui, je suis la marraine de 6 chiens du même refuge : Téo et Rushell (2 frères), César, Tico, Béni et dernièrement, le petit Luki.

J'ai démarré ce parrainage, depuis plusieurs années, certains de mes petits protégés ont trouvé une famille (Ron, Dino dernièrement ...) et d'autres n'ont pas eu cette chance, car « partis » malheureusement trop tôt, comme la jolie Greta!

Au final, la marraine que je suis devenue est comblée dès lors que je reçois mensuellement des nouvelles de mes petits protégés, car les bénévoles de leur refuge, me les envoient par mails, souvent accompagnés de photos ou de vidéos, ce qui consolide au-delà des frontières, mes liens avec eux, même à distance!

Enfin sans les bénévoles de Galgos Angel, si dévoués à la cause animale, le parrainage ou l'adoption ne pourraient exister et par ce témoignage, je les remercie de tout mon cœur!

 

Aussi, j'espère que vous serez nombreux, à faire la même chose que moi: apporter de l'amour à tous ces «laissez pour compte» qui méritent tout autant le bonheur et la chaleur d'un nouveau foyer ou à défaut, votre attention et votre soutien dans l'amélioration de leur quotidien , en devenant la marraine ou le parrain, des plus nécessiteux ! MERCI pour EUX


Liliane, marraine de Jeep

Bonjour,

Ne pouvant les adopter tous, nous avons choisi le parrainage car nous nous sentons touchés par la cause de tous ces chiens en refuge. L'histoire de Jeep nous a particulièrement touché car il est terrorisé par les humains tout en s'arrangeant avec ses congénères chiens. On imagine ce qu'il a pu subir dans sa vie, et, à part sa peur, il semble avoir toutes les qualités pour être adopté, ce que nous lui souhaitons, nous voulions ainsi lui donner un coup de pouce. Nous l'avons choisi également parce qu'il n'avait pas d'autres parrains.

 

Merci encore pour tout ce que vous faîtes pour tous ces malheureux et pour les nouvelles que nous recevons tous les mois.


Isabelle, marraine de Ralph.

Depuis ma tendre enfance, j'ai toujours rêvé d'avoir un chien. Je me suis prise d'affection pour Sam, le berger allemand de mon oncle dont j'étais la seule à pouvoir m'approcher si l'on excepte son maître et ses enfants, tant sa fonction de chien de garde était instinctive. Mes parents tremblaient quand ils me voyaient m'approcher de lui : le chien faisait des bonds violents à l'approche des autres mais ma présence l'apaisait et il remuait la queue de plaisir quand il me voyait venir vers lui pour le caresser

J'ai réalisé mon rêve de chien en adoptant Shimy il y a trois ans, au moment du déconfinement, par l'intermédiaire de Galgos Angel. Malgré son grand âge (15 ans au moins!) elle assume son job de « coach sportif ». Ce n'est pas un berger allemand à mon grand regret, mon logement et ma santé ne me le permettant pas. Je dois dire que Ralph m'a tapé dans l’œil : un berger allemand au regard triste qui en outre est dans le refuge d'Ana d'où vient ma louloute.

Depuis que je le parraine, une relation s'est nouée (il ne le sait pas) : j'attends de ses nouvelles, je pense à lui ...j'apprécie les photos (les vidéos parfois) mensuelles. Je n'ai qu'une envie, le voir progresser pour qu'il puisse être adopté... Soutenir le refuge d'Ana par cette occasion est une façon de la remercier du précieux cadeau qu'est Shimy.


Sandra, marraine de Lucky, Sunday et Lori.

Avoir la chance d’adopter, c’est quelque chose de merveilleux. Une aventure, une histoire d’amour au quotidien.

Mais tous les chiens n’ont pas la chance d’être adoptés.

Ils arrivent parfois, cassés, blessés, fracturés ou « jetés sans soins ».

Mais c’est sans compter les bénévoles de nos refuges ! C’est sans compter le travail extraordinaire qu’ils font au quotidien pour les sauver et leur montrer que OUI, ils sont  importants !!!!

Les refuges ont besoin d’être aidé et nous donnent la possibilité du PARRAINAGE.

Être marraine, choisir un ou des toutous c’est améliorer leur quotidien sur place, les mettre en lumière pour les aider à trouver leur future famille.

C’est les suivre chaque mois avec des nouvelles, des photos. Ces messages sont toujours attendus avec joie et bonheur. C’est un peu les aimer aussi, « à distance » certes, mais c’est aimer un toutou qui parfois n’a plus beaucoup d’espoir. C’est chaque mois, contribuer financièrement, selon ses possibilités au soutien des refuges. C’est une belle aventure, que je n’arrêterai pour rien au monde.

C’est peu mais beaucoup à la fois.

Alors si vous ne pouvez pas adopter, PARRAINEZ !


Marie-Claire, marraine de Buky et Aloy

Marraine depuis un an de 2 petites inadoptables actuellement car trop craintives, j’ai le plaisir de recevoir chaque mois des photos et nouvelles de mes filleules. Je suis tenue au courant de leurs progrès, des petites nouvelles du refuge où elles se trouvent, et également d’informations générales sur l’actualité de la protection animale en Espagne.

À nouveau un grand merci à la bénévole qui se charge de ces envois réguliers.

Je viens de renouveler mes parrainages, qui sont un moyen d’agir néanmoins pour les personnes ne pouvant pas adopter, et pour les adoptants de poursuivre leur engagement d’une manière différente.

Chapeau bas à GALGOS ANGEL pour son action et son sérieux.

 

Avec toute mon amitié aux équipes espagnoles et aux bénévoles français si impliqués pour offrir un nouveau départ au maximum de loulous que la vie en Espagne a tant malmené.


Christiane, marraine de Mini et Andreu

J'ai adopté il y a quelques années une petite chienne qui a été sortie d'une pereira. Je n'ai que du plaisir avec elle. Malheureusement adopter un deuxième toutou n'est guère envisageable pour le moment.  J'ai eu un coup de cœur pour un chien, un peu autiste et bad boy, que Galgos Angel soutenait dans un petit refuge. La décision a été prise : le parrainer. Ensuite il y a eu un 2ème parrainage, une petite chienne handicapée dont le refuge s'occupe à merveille. J'ai le plaisir de recevoir tous les mois des nouvelles de ces deux chiens avec vidéo, photos et commentaires amusants. En prime, ces toutous nous parlent de la météo et des conditions quelques fois difficiles pour tous (chaud ou froid)! J'ai ainsi, avec ma petite contribution régulière, le sentiment d'aider ces refuges et de leur montrer la reconnaissance que j'ai pour tout le travail qu'ils font ! Merci aux refuges et

Merci à GALGOS ANGEL qui fait l'intermédiaire et nous transmet des nouvelles régulières.

Parrainer est un vrai plaisir.


Sylviane, marraine de Ralph

Voici déjà un certain temps que je parraine le beau Ralph qui se trouve encore en refuge en Espagne après avoir participé aux soins à un autre chien avant lui

Il a fait beaucoup de progrès au contact de l’humain mais ne peut encore être adopté car les progrès sont insuffisants pour assurer une adoption réussie 

Il doit encore être mis en confiance et le chemin est long

Je suis très fière de participer de manière très modeste à son éducation et chacun donne ce qu’il veut dans la mesure de ses moyens !!!

J’encourage vivement les personnes qui ne peuvent adopter à parrainer un chien ou une chienne en refuge car chaque sou donné améliore le quotidien des loulous restés en refuge !!!

Les nouvelles et les photos arrivent régulièrement et cela nous rend vraiment fier de venir en aide un tant soit peu au bien être des loulous 


René, parrain de Zouzou

Bonjour,

Voici mon témoignage de parrain concernant Zouzou.

J’avais été très touché par l’histoire de Zouzou. Un chien ou une chienne qui a peu de chance d’être adopté(e) retient naturellement plus notre attention si l’on envisage de devenir parrain ou marraine. C’est pourquoi j’ai décidé de parrainer Zouzou.

Je suis conscient que ma contribution n’est qu’une goutte d’eau pour combler des besoins immenses, mais elle me tient à cœur et je suis heureux de l’apporter.

J’ai l’impression que Zouzou m’est plus familière, et je suis avec grand intérêt les nouvelles régulières que je reçois d’elle et de son refuge.

La lettre que je reçois de Zouzou est très personnalisée, et c’est chaque fois avec plaisir que je la lis, avec photos à l’appui. et quel bonheur quand les nouvelles sont bonnes.

Je trouve cela très bien fait, et les liens affectifs en sont renforcés.

Aider, même modestement un animal en refuge apporte beaucoup. J’espère que les futurs parrains et marraines seront de plus en plus nombreux à apporter un soutien à ces pauvres chiens qui n’ont pas mérité leur triste sort. Et merci à l’association qui fait un travail formidable.


Yannick, parrain d’Eddy, Neron, Kurdo, Felipe et Chile

Bonjour,

Afin de répondre à votre sollicitation de témoignages, voici le mien.

Tout d’abord, je vis mes parrainages comme un pis-aller : de retour d’expatriation en 2021, je ne suis pas parvenu à vivre dans une demeure assez grande pour accueillir les 5 chiens supplémentaires que je désirais (un deuxième berger de taille moyenne, un deuxième podenco d’Ibiza, un très grand berger, un chien âgé et un chien en famille d’accueil). Je n’ai pu accueillir qu’un Serbe à soigner de la dirofilariose. Or, certains de ceux que je désirais accueillir sont soutenus par Galgo angel (Eddy, ma passion ; Hugo, mon chagrin ; Néron, mon loyal).

Ainsi, je vis mes parrainages comme des vestibules à une possible adoption (tiens, j’me fais un Loto) : je souhaiterais adopter les chiens que je parraine. Autant dire que j’attends avec impatience les nouvelles mensuelles et autant dire aussi que l’annonce récente de l’adoption de deux de mes filleuls a été un moment de bonheur.

C’est tellement vrai que je vais dès maintenant parrainer Quito, apparu en juillet. Un podenco d’Ibiza à parrainer, ça ne se rate pas. Celui-ci, j‘imagine sans difficulté les câlins qu’il donnerait et les courses endiablées avec mon grand bâtard de pod. Que j’envierai ceux qui vont l’accueillir !

Je regrette la disparition des fiches des chiens adoptés et l’absence d’au moins une photo d’eux dans leur nouvelle environnement. Mais je comprends la charge qu’entraînerait un tel suivi et je partage l’objectif premier qu’est leur adoption.


Pascale, marraine de Victor et Triskel

Lorsque j’ai visité le site Galgos Angel, un peu par hasard, il y a maintenant plus de deux ans et que j’ai découvert que je pouvais devenir marraine, je n’ai pas hésité longtemps.  

Je suis l’heureuse « maman » d’un bichon de 12 ans et d’un chien de rue de 3 ans adopté via une association roumaine. Ne pouvant accueillir un autre chien au sein de mon foyer, je me suis dit que le parrainage pouvait aussi être un moyen de faire partie de sa vie.  

Les photos et l’histoire de Victor et Malaga m’ayant particulièrement touchée, c’est avec eux que je me suis lancée dans cette aventure. Au fil des mois, grâce aux photos, vidéos et petits récits de leurs vies reçus par mail, un véritable lien s’est créé et lorsque Malaga nous a quittés l’année dernière, je n’ai pu retenir mes larmes. Encore aujourd’hui, je repense à elle avec émotion et j’aime à croire que mon parrainage lui a offert un peu de confort et de réconfort dans sa dernière année. 

Je suis toujours la marraine de Victor et une petite Triskel a rejoint « la famille » et c’est toujours avec le même plaisir que, chaque mois, j’ouvre le mail qui me donnera des nouvelles de mes filleuls, car, oui, ils font vraiment partie de ma vie.


Laëtitia, marraine de Julie et Enzo

Je pense souvent à mes filleuls protégés Enzo et Julie qui se trouvent loin de moi en refuge… avec de la tristesse mais aussi de l’espoir qu’ils soient un jour adoptés, une immense reconnaissance auprès de celles et ceux qui les sauvent et les câlinent chaque jour, et  de la tendresse pour eux 


Liliane, marraine de Victor

Bonjour,

Marraine de VICTOR, je tiens à vous remercier pour le suivi des nouvelles que ce soit concernant sa santé, son comportement et surtout ses progrès.

Merci aussi pour les photos qui accompagnent toujours le compte rendu.

Un grand MERCI pour EUX


Isabelle, marraine de Drago

Lorsque j ai adopté mon loulou y a 5 ans dans un des refuges en Espagne, et tant d autres qui attendent leur tour un foyer pour la vie! Quand j ai vu la souffrance et les conditions de vie de tous ces loulous avant que les bénévoles des refuges ne les prennent en charge pour leur apporter la sécurité, les soins et a manger au quotidien. Je me sentais bien impuissante face a tout cela et ne pouvant pas adopter un second chien, j ai demandé à parrainer un loulou pour lui apporté un peu de mieux, car je suis bien consciente qu’au refuge les bénévoles  font ce qu’ils peuvent mais ça ne sera jamais pareil que dans un foyer! Je suis toujours heureuse quand je reçois des nouvelles avec des photos, et encore plus lorsque j apprends que mon filleul a été adopté et je contribue à améliorer le quotidien a un  nouveau petit filleul. Je sais que ma contribution n’est qu’une petite goutte d’eau, mais j’essaie à mon niveau à faire du bien, de ne pas fermer les yeux a tant de souffrance.  


Laure, marraine de Naomi

Je ne suis pas une experte de grandes phrases et beaux discours alors je vais faire au mieux . 

J'ai décidé de devenir marraine environ un an après l'adoption de ma louloute Olivia. En voyant toutes ces petites bouilles, je craquerai bien pour un deuxième chien à la maison, mais mon mari me raisonne sur les frais que cela engendrerait tout de même, surtout qu'Olivia nous coûte assez cher mensuellement  (poudre épaississante pour son eau, traitement allergies, alimentation hors croquettes, et veto régulièrement pour des petites choses non graves heureusement).

Alors ayant vu des témoignages de marraines sur le groupe Facebook, j'ai décidé de me lancer. J'ai l'impression à mon niveau d'aider un peu un loulou ou une louloute en attente d'adoption ou non adoptable. Tous les mois nous avons des nouvelles avec photos ou vidéos. J'ai été marraine de Légo qui a finalement été adopté, j'ai été contente pour lui. Maintenant je suis marraine de Naomi chienne trauma. 

Voilà, si vous aussi ne pouvez/voulez pas prendre un autre chien, c'est l'idéal pour venir en aide à d'autres qui sont toujours aux refuges en Espagne. Chacun donne la somme qu'il souhaite, et même un petit montant aide à améliorer leur quotidien. 


Marie-Claire, marraine d’Hugo

Hugo, mon cher filleul,

Ton histoire parmi tant d’autres tellement injuste et triste m’a touchée et j’aurais aimé t’offrir le foyer dont tu dois rêver…Mais je ne peux pas tous vous sauver… Alors j’ai voulu être ta marraine pour permettre d’améliorer un peu ton quotidien, participer à tes soins puisque tu es malade. Tous les mois je guette le mail qui me donne de tes nouvelles, les exploits du bel  Hugo la sape et les photos ou je te vois  arborer des nouveaux manteaux. Même si tu sembles heureux au refuge, je parle de toi autour de moi, espérant toujours te trouver un foyer aimant. 

Je te souhaite plein de bonheur, cher Hugo

  Ta marraine 


Sophie R, marraine de Zouzou, Sunday et Ralph

C’est toujours avec une certaine impatience et un grand plaisir que je découvre les nouvelles de mes 3 protégés : Zouzou, Sunday et Ralf.  Je suis toujours touchée des textes qui sont bien détaillés et me permettent de me projeter un peu surplace. J’admire aussi chaque fois le travail incroyable des bénévoles, et leur grand dévouement pour ces 4 pattes.

Grâce aux nouvelles régulières, j’ai l’impression d’être toujours en lien mes filleuls poilus, même si je ne les ai jamais rencontrés. Je suis leur vie avec leur aléas.

 Bien qu’ils soient en refuge, je suis heureuse de voir chaque fois que ces chiens sont heureux et que, les plus timides et réservés, progressent à leur rythme car ils sont choyés au quotidien. Merci à vous !


Axelle, marraine de Zouzou

Bonjour,

 Je soutiens la douce Zouzou depuis plusieurs années. J'aurais préféré l'adopter, mais j'ai déjà un chien et ce serait difficile d'en avoir deux pour le moment, alors je me contente de mon rôle de marraine pour lui offrir un peu de confort et participer à ses frais vétérinaires et de nourriture. Recevoir de ses nouvelles chaque mois est toujours un plaisir, surtout que la puce est passée par des moments difficiles au niveau de sa santé, mais les bénévoles de son refuge font un travail remarquable et je la sais entre de bonnes mains. Elle ne me connaît pas, bien sûr, mais j'espère qu'elle comprend dans son petit cœur que malgré la cruauté et l'indifférence de beaucoup d'humains, il y en a autant qui veulent son bien et espèrent qu'un jour, elle pourra continuer sa vie dans une famille qui prendra soin d'elle.

Merci pour tout ce que vous faites pour ces loulous que la vie n'a pas gâtés :)

Axelle et Penny (mon petit beagle, qui ne connaît pas Zouzou mais se ferait un plaisir de l'embêter gentiment si elles se rencontraient !)


Sophie B, marraine d’Andreu et Mars & Homer

Je marraine trois chiens : Mars et Homer, un petit couple arrivé terrorisé au refuge, s’écrasant par terre quand on les approchait. Ils m’ont tellement émue... Puis Andreu, le chien qui m’a le plus touchée au refuge d’Andrea qui avait besoin d’aide. Le pauvre, après avoir fait tant d’efforts pour vaincre ses peurs, reste inadoptable pour des problèmes de santé.

Parrainer, c’est bien sûr aider financièrement un refuge (ils ont tant de besoins !), mais c’est aussi recevoir régulièrement des nouvelles d’un ou de plusieurs chiens qui, pour une raison que nous ignorons, nous touchent encore plus que les autres ; on le sait, lorsque l’on regarde le site, il y a ceux que l’on voit réellement, qu’on reconnaît, dont on connaît le nom, et les autres.

Je peux donc suivre pas à pas l’évolution de ces trois chiens, leur vie au chenil. Ils n’ont quasi aucune chance d’être adoptés (ce n’est pas le cas de tous les chiens parrainés), mais au moins, quelqu’un pense à eux quelque part, Je sais que les bénévoles n’ont pas le temps de me tenir informée régulièrement, mais recevoir une fois par mois quelques images et quelques mots sur leur quotidien est toujours un grand plaisir, très attendu.


Lysiane, marraine d’Asia, Beni et de la ferme rescue d’Ana

Chers co-adoptants,

Je ne viens pas vous parler de mes sentiments pour les animaux que je parraine. D’abord, parce que mes sentiments ne regardent que moi. Ensuite, parce que mes sentiments, mes filleuls s’en moquent éperdument, ils ne savent même pas que j’existe ! Et par dessus tout, parce que les sentiments ne sont pas utiles. Comment ? Je vous choque ? Sérieusement ? Avez-vous déjà essayé de régler votre caddie de courses avec des sentiments ? Ou de combler un déficit bancaire avec ? Vous-même, accepteriez-vous que votre travail soit rémunéré en sentiments ?

J ‘ai en mémoire une publicité de l’UNICEF, où un enfant étalait ses membres décharnés et ses yeux immenses dans un visage émacié, et en dessous, cette phrase lapidaire : « il n ‘a pas besoin de votre pitié, il a juste besoin de vitamines. ». Et bim ! A une époque où l’on ne connaissait ni le poids des mots ni le choc des photos, cela avait le mérite de remettre l’église au milieu du village : à savoir que les sentiments, si nobles ou bienveillants soient-ils, n’ont jamais abrité, nourri ou soigné qui que ce soit !

La seule chose qui puisse changer pour le mieux le destin funeste des êtres déshérités, c’est que nous alimentions par notre soutien financier les structures qui leur procurent asile, soins et nutrition.

Nous avons tous adopté un (ou plusieurs) de ces êtres en détresse, sauvés par les refuges espagnols, au prix d’efforts et de sacrifices inouïs, et, ce faisant, nous avons contracté une dette ineffaçable envers ceux qui ont rendu cela possible ; la modeste participation que nous avons versée au titre de l’adoption ne saurait nous en libérer. Nous pouvons au mieux espérer rembourser l’intérêt de la dette, en déversant dans la machine à sauver la seule énergie qui puisse la faire tourner, la maintenir à flot, et assurer sa pérennité : l’argent.

Pour ce faire, le parrainage est une action de choix, puisqu’en vous engageant sur un versement mensuel au profit d’un animal, vous permettez au refuge qui l’accueille de mieux gérer son budget, en pouvant estimer à l’avance les rentrées. Vous recevez, en échange, des nouvelles et des photos de votre filleul, ce qui vous permet de constater les bénéfices que votre protégé retire de votre soutien.

Parmi les candidats au parrainage, il en est certains qui vous toucheront plus que d’autres. Cependant, il y a, parmi les pensionnaires des refuges, certains individus dont la détresse est moins criante, dont le profil est moins visible, mais qui ont tout autant besoin de soutien que les autres. L’Association se permettra de vous en suggérer certains. Je vous remercie, si vous le pouvez, de considérer favorablement cette suggestion.

Encore un mot : l‘humain est un être pétri de paradoxes, et bien des gens, qui pourraient faire « un petit quelque chose » s’abstiennent, de crainte d’être mal jugés. N’ayons donc pas de ces sottes pudeurs, et gardons à l’esprit que les petits ruisseaux font les grandes rivières. Il n’y a pas de limite minimum pour parrainer, on peut s’engager à hauteur de ses possibilités, quitte à faire une obole plus importante le mois où il y a un peu plus de rentrées et/ou un peu moins de sorties. Tout aide, si modeste soit-elle, est la bienvenue. Alors, chers co-adoptants, parrainons un peu, parrainons beaucoup, parrainons comme nous pouvons, et honni soit qui mal y pense.